Aujourd’hui, dans France Mayotte matin, les tensions sociales s’intensifient. Les agents de l’Éducation dénoncent des promesses non tenues, malgré l’annonce du versement de la prime Chido. Les agents territoriaux, eux, réclament 2 000 € et bloquent Mamoudzou. À Vahibé, les habitants organisent leur propre sécurité face à l’insécurité. Le prix du panier-type explose, posant la question de la souveraineté alimentaire. Enfin, la justice relâche un homme soupçonné de reconnaissance frauduleuse de paternité, faute de preuves.
Le Journal de Mayotte, quant à lui, revient sur cette même affaire judiciaire, en soulignant les soupçons de fraude et les incohérences dans les déclarations du prévenu. L’article insiste sur l’absence de test ADN et la passivité des autorités face à des pratiques connues. Le journal relaie aussi l’alerte de l’UNICEF sur l’oubli des droits de l’enfant dans le projet de loi pour Mayotte, dénonçant une approche trop sécuritaire. Enfin, il met en lumière l’engagement des lycéens de Petite-Terre lors d’une journée dédiée aux droits des femmes.
Enfin, Flash Infos revient sur l’escale du paquebot Nautica, symbole d’une reprise du tourisme après le cyclone. Le journal consacre également un long développement à la nomination du major Saïd Sahari à la tête de la brigade de Dembéni. Côté Comores, la rénovation d’un lycée emblématique par la France provoque une vive polémique sur la souveraineté nationale, en pleine préparation du cinquantenaire de l’indépendance.






