À la une de France Mayotte Matin aujourd’hui : la semaine s’annonce cruciale pour l’avenir de l’île. Après la validation de la loi sur le durcissement de l’accès à la nationalité, le Sénat ouvre les débats sur la loi Mayotte. Entre incertitudes politiques, flou budgétaire autour des 3,2 milliards annoncés et pression sociale pour la convergence des droits, le texte divise.
L’épidémie de chikungunya progresse : 244 nouveaux cas ont été recensés en deux semaines, mais la réalité serait bien plus élevée faute de diagnostics.
À Tsoundzou, une station d’épuration de 20 millions d’euros va voir le jour, mais son efficacité dépendra de la capacité des habitants à se raccorder. Koungou devient la première commune de France à signer un partenariat avec l’Armée pour distribuer de l’eau potable jusqu’en 2026.
Une Congolaise affirme avoir été violée près du camp de migrants de Tsoundzou.
La FSU appelle à la grève mardi pour protester contre le non-versement de l’aide post-Chido et la politique salariale du rectorat.
Enfin, la possible nomination d’un chef d’entreprise réunionnais à la tête d’AL’MA suscite l’inquiétude des élus et acteurs locaux, inquiets d’un éloignement des réalités mahoraises dans la gouvernance du logement ainsi que de voir des fonds pour Mayotte être engloutis par les entreprises réunionnaises.






