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Une ONG tire la sonnette d’alarme face au trafic de stupéfiants dans la région

Mercredi dernier, l’ONG internationale « Global Initiative against Transnational Organized Crime » (GITOC) a dévoilé les résultats de son enquête sur le trafic de stupéfiants dans la partie occidentale de l’océan Indien. Où l’on peut voir que Madagascar se trouve sur la fameuse « route du Sud » qui voit transiter cocaïne, héroïne et autres méthamphétamines. 

Mayotte peut toucher par la cocaïne et l’héroïne, car considérées comme les « drogues des riches ». La chimique reste la principale drogue consommée sur l’île. Selon le Docteur Youssouf Ali Mohamed, médecin au service addictologie du CHM, après le tabac et l’alcool, la chimique est la troisième cause de consultation au service addictologie, à égalité avec le cannabis. Depuis 2015, les spécialistes observent une stabilisation du nombre de cas. Néanmoins, selon le médecin, « les cas que nous voyons ne reflètent pas forcément ce qui va être généralisé au niveau du département. »

Lire l’article dans le journal France Mayotte matin du 9 juin 2021, pour plus d’information.

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