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Vendredi matin, l’île a vécu au rythme des violences. Sur la route d’abord, avec l’agression violente de deux agents de la préfecture qui se rendaient au travail. Au lycée de Kahani ensuite où des individus cagoulés ont semé le chaos durant plus de deux heures. Les jours passent et les violences se font toujours plus nombreuses. Collectifs, élus, syndicats, parents d’élèves, tous en appellent à une réaction de l’État pour éviter de revivre le début d’année 2018.
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