L’épidémie de chikungunya se maintient à un niveau élevé avec plus de 900 cas confirmés depuis mars. Si une légère baisse est observée, elle pourrait être liée à la diminution des tests et à un accès restreint aux soins, notamment dans les zones isolées. L’ARS continue de mener des opérations ciblées dans les communes touchées, avec près de 1700 habitations traitées en une semaine et plus de 3000 gîtes larvaires recensés. Un cas de dengue a également été signalé, portant à 26 le total depuis janvier. Dans ce contexte, la vigilance reste indispensable. Des campagnes de sensibilisation sont menées, notamment dans les quartiers précaires et les établissements scolaires. Malgré les contraintes, les dispositifs de surveillance restent actifs pour suivre l’évolution de la situation épidémique.
