Ce lundi matin, le trafic des barges a fonctionné normalement jusqu’à 7 heures, avant d’être perturbé par le mouvement social lancé par le syndicat SNU TER. Selon les premières annonces syndicales, seul un « service minimum » devait être assuré, réservé aux ambulances, aux services de santé et aux forces de l’ordre. Toutefois, les premières rotations observées après 7 heures laissent entrevoir la possibilité pour les piétons d’embarquer. En revanche, de nombreux camions, véhicules et deux-roues ont préféré rebrousser chemin, dans l’incertitude d’un retour assuré. « On ne sait pas si le retour sera possible », confiait un usager. Les discussions doivent s’ouvrir dans la matinée au Conseil départemental afin d’engager les négociations.
