Top pub
Top pub
Top pub
Top pub

Le Rassemblement National communique sur les évènements de Miriréni-Combani

6h06

logo RN

La Rassemblement National prend la parole et revient via un communiqué de presse sur les évènements de ces derniers jours qui se sont déroulés à Miriréni et Combani :

« Suite aux évènements dramatiques qui se sont déroulés à Miréréni et Combani dans la commune de Tsingoni le 8 et 9 septembre, Le Rassemblement National se réjouit qu’enfin le préfet ait compris et qu’il ait pris en compte les maux dont souffrent la population  Mahoraise.

Comme vous le savez et vous voyez, Mayotte souffre, Mayotte pleure.

Dans sa déclaration, le Préfet a enfin décidé de mettre en application la déchéance de la nationalité Française sachant que celle-ci ne peut se faire que sur avis du conseil d’état sinon par un décret pris par le conseil des ministres, l’annulation des titres de séjour des familles et enfants qui commettent des actes délictueux, de délinquances, de barbaries sur notre territoire mais aussi de l’expulsion de ces derniers.

Comme la semaine dernière, devant les ondes, le Préfet a enfin reconnu que  l’immigration était la cause de tous les problèmes de ce territoire, nous l’accueillerons à bras ouvert en lui proposant la carte d’adhésion au Rassemblement National puis qu’il a enfin pris en compte les sages propositions longtemps décriées par notre mouvement.

Ceci dit, avant de prendre de telles mesures, le Rassemblement National demande à avoir les chiffres des entrées illégaux à Mayotte en violations de nos frontières.

Le Rassemblement National demande à avoir le bilan depuis l’entrée en vigueur de l’amendement Thani en septembre 2018 mais aussi de l’accord cadre puis que ces 2 problématiques sont liés sachant que plus de  6 mois qu’il n’y a plus eu d’expulsions vers les Comores.

Va – t- il transformer tous les légaux en illégaux ?

Va – t- il les expulser pour les revoir revenir quelques jours après ?

Ou se trouvent les  patrouilleurs tant décriés pour la surveillance de nos frontières ?

Monsieur le préfet, les Mahorais en ont assez de subir des agressions physiques, psychologiques et morales avec destructions de leurs biens et vous demande de montrer enfin vos muscles comme ce que fait votre homologue en Guyane. »

Articles associés