L’usine de l’Ourouveni pourrait bientôt subir de lourds travaux. Si ces réparations sont jugées indispensables, elles risqueraient d’aggraver les coupures d’eau déjà vécues par la population. Dans certaines zones, notamment au sud, les familles pourraient rester jusqu’à quatre jours sans eau, avant de retrouver le service pendant seulement 24 heures. La SMAE prévoirait de mettre en place des citernes, avec l’appui du RSMA, pour tenter de limiter les difficultés. Mais la logistique domestique s’annoncerait encore plus compliquée qu’en 2023. Par ailleurs, l’usine de dessalement de Petite Terre, qui depuis février 2025 produit beaucoup moins que prévu, reste un maillon faible. Les habitants devraient donc se préparer à un mois marqué par de nouvelles restrictions et une organisation quotidienne bouleversée.
La SMAE prévoit de lourdes réparations sur son site de l’Ourouvéni ayant pour conséquences l’augmentation des coupures d’eau






