
Bien que la rencontre se soit déroulée dans de bonnes conditions entre le directeur de la SIM, Ahmed Ali Mondroha, et une délégation de onze personnes représentant les salariés en grève. Il a été décidé de la poursuite de la grève en raison de deux points de désaccord : la prime de vie chère mensuelle de 150 euros et la prime exceptionnelle Chido de 2 000 euros qui doit venir de la SIM.
Les négociations devraient reprendre demain et les salariés ont affiché leur détermination à poursuivre le mouvement social jusqu’à ce qu’un accord soit trouvé.