À Tsoundzou, au camp de migrants africains, les pelleteuses ont fait leur travail. Il ne reste plus que des gravats et déchets sur place. Faute de solution, ils sont nombreux à avoir trouvé refuge devant le site de Coallia pour y passer la nuit. Une maman avec son nourrisson explique qu’elle pensait que les mamans et les enfants seraient pris en charge. « On ne nous a pas bien prévenus », témoigne-t-elle. Elle souligne qu’elle ne peut pas rentrer chez elle. « J’ai fui mon pays parce que l’on a tué ma famille. On a besoin de protection. » Elle espère que des solutions seront trouvées pour, au moins, « les mamans et les enfants », et avoir un endroit où il sera possible de dormir et de construire un abri. Sur place, un drone est visible dans le ciel, surveillant surveillant les abords du site et les mouvements de la foule.
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