Une femme de nationalité congolaise affirme avoir été violée par deux individus dans les broussailles jouxtant le camp de migrants de Tsoundzou. Les faits, survenus le 8 mai dans une zone difficile d’accès, ont donné lieu à l’ouverture d’une enquête. La victime, prise en charge à l’hôpital, a permis aux enquêteurs de localiser le site. Des objets abandonnés, dont un téléphone potentiellement lié à un agresseur, ont été retrouvés. L’expertise de ce dernier pourrait s’avérer déterminante. Ce nouvel épisode met en lumière la vulnérabilité des femmes dans les zones informelles comme celle de Tsoundzou.

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