Le fils d’Ali Omar a été présenté ce jeudi devant le juge des libertés et de la détention après avoir été placé en garde à vue pour rébellion, violences envers les forces de l’ordre et usurpation de qualité. Lors de son interpellation, l’individu aurait en effet déclaré être magistrat, ce qui s’est avéré inexact.
Les faits se seraient produits dans un contexte de tension avec les policiers. L’enquête a rapidement été ouverte, et le parquet avait requis son placement en détention provisoire dans l’attente de l’audience, prévue pour le 10 septembre prochain.
Cependant, le juge des libertés et de la détention n’a pas suivi cette demande. Le prévenu, décrit comme fragile, a finalement été placé sous contrôle judiciaire strict. Il devra respecter plusieurs obligations dans l’attente de son procès, notamment l’interdiction de contact avec les témoins de l’affaire et l’obligation de se présenter régulièrement aux autorités judiciaires.
L’affaire sera jugée devant le tribunal correctionnel le mois prochain. Elle suscite une attention particulière en raison du profil de la personne impliquée et des accusations portées. La justice devra désormais faire la lumière sur les faits.






