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Justice : Le seuil qu’il ne fallait pas franchir pour un ex-mari jaloux

Le tribunal de Mamoudzou a examiné, hier, une affaire de violence domestique d’un « ex-mari jaloux ».

La plaignante, divorcée de l’accusé depuis 2017, a porté plainte pour des actes de violence survenus le 30 mars dernier. Elle affirme que son ex-conjoint, qui rendait visite quotidiennement à leur fille, l’a agressée ce jour-là.

Selon elle, le prévenu, en situation irrégulière et absent du procès, aurait forcé la porte de son domicile en la frappant au visage par jalousie après son remariage.

Sans preuves tangibles d’actes de violence, ce chef d’inculpation n’a pas été vraiment retenu contre l’ex-mari. Cependant, ce dernier a été condamné à 3 mois de prison avec sursis pour avoir franchi de force le seuil de l’ancien logement conjugal.

Cela peut lui coûter encore plus cher en sachant que son ex-épouse compte faire une demande d’éloignement et l’annulation du droit de visite pour sa fille.

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